En attendant un nouvel IAM largement basé sur les BO d’Ennio Morricone, l’“architecte sonore” Imhotep revient avec son deuxième album solo. « Kheper » vient de sortir. Dix disques. Ceux…
Discothèque idéale selon Money Mark
Dix disques. Ceux que Mark Ramos-Nishita, alias Money Mark, emporterait sur son île déserte. Depuis «Mark’s Keyboard Repair», l’ébéniste et clavier des Beastie Boys a sorti six albums solo et…
Discothèque idéale selon Wax Tailor
Nouvelles inspirations, nouvel album, nouvelle aventure scénique, mais toujours les mêmes références : le tailleur de cire dévoile ses dix disques de chevet. Ella Fitzgerald & Louis Armstrong Ella &…
Discothèque idéale selon Courtney John
Voici les dix galettes que le crooner soul de Kingston sauverait des flammes si sa discothèque s’embrasait soudainement. Bob Marley – Kaya Cet album me rappelle le bien-être et le…
Discothèque idéale selon Lulu Gainsbourg
Vingt ans après la mort de Serge, son fils lui rend hommage avec un album où Johnny Depp, Iggy Pop ou Scarlett Johansson revisitent les classiques de l’homme à tête…
Discothèque idéale selon $OLAL
Les disques qui comptent pour $olal. Après avoir mis à l’envers la piste de tango avec Gotan Project, l’homme machine a enfourché une six-cordes pour suivre le sillon de Nashville. Résultat : une heure de musiques à la campagne, tout cool et tout soul… Comme cette sélection «concoctée sous moonshine»
Discothèque idéale selon Erik Truffaz
Le trompettiste sort ces jours Arkangelsk, son premier album avec des chanteurs. Son choix de disques ? une sélection «entre les couleurs du silence et l’énergie du son».
Discothèque idéale selon Sébastien Tellier
Dix disques. Ceux qu’emporterait sur son île déserte Sébastien Tellier, qui vient de publier “Sexuality”, une galette qu’il faut avant tout écouter par les deux bouts : “Roche”, digne du meilleur d’Alain Chamfort, et “L’Amour et la Violence”, non loin des sommets de William Sheller.
Discothèque idéale selon Amon Tobin
Le plus brésilien des producteurs londoniens vient de signer un nouvel ovni, qui survole le bruitisme. L’occasion de vérifier quelles influences planent au-dessus de lui: de l’électro, un peu, mais aussi du très bon hip hop, et des ambiances…
Discothèque idéale selon Abd Al Malik
Explosion des genres. Jazz, chansons à textes ou rap US se côtoient dans la discothèque idéale d’Abd Al Malik : Jacques Brel « les marquises », pour moi, c’est un vrai modèle artistique, une incroyable force d’écriture et d’interprétation sur fond d’une musicalité fine et subtile conçue …
Discothèque idéale selon Mr Oizo
En 1999, Quentin Dupieux faisait rigoler la planète entière avec sa peluche Flat Eric. Il en a profité, sous le nom de Mr Oizo, pour écouler plus de trois millions…
Discothèque idéale selon Anthony Joseph
Les disques qui comptent pour Anthony Joseph, le Trinidadien de Londres dont la verve tropicalisée et le verbe créolisé s’inscrivent dans le tout-monde. Collectionneur de vinyles, le chanteur a la classe de proposer une sélection de classiques, plus que de faire étalage de raretés pour frimer en société.
Discothèque idéale selon Saul Williams
Dix disques, ceux qu’emporterait sur son île déserte Saul Williams. Pour cette sélection, le slammer touche-à-tout choisit de prendre un album par genre musical qu’il affectionne. Mike Ladd Negrophilia « The Album » : Cet album m’aiderait à revoir tous les aspects nécessaires de mon histoire… Mais aussi à penser à son auteur, parce qu’il est mon ami.
Discothèque idéale selon Rocé
Artiste un peu à part, José Kaminsky, aka Rocé, fils d’un résistant faussaire franco-argentin d’origine russe et d’une mère algérienne, naît à Bab El-Oued en 1977 et grandit à Thiais dans le 94. Le Rappeur français nous fait découvrir les influences musicales qui ont jalonné sa route soit 5 albums clés :
Discothèque idéale selon Martina Topley Bird
Dix disques. Plus un onzième : la bande-son d’“Oh Brother Where Art Thou”. Ceux qu’emporterait sur son île Martina Topley Bird, ex muse de Tricky qui a pris depuis son indépendance de style. Comme sur son nouvel “The Blue God”, produit par Danger Mouse, où elle glisse sa gorge profonde sur des climats qui flirtent sensuellement avec la pop made in USA.
Discothèque idéale selon Tété
Dix disques. Ceux qu’emporteraient le chanteur et guitariste Tété dans son île, qu’il n’imagine « pas forcément tropicale, mais plutôt verte, avec des forêts et des prairies, genre l’Irlande. Avec une petite laine et du tweed… ».
Discothèque idéale selon Sophie Hunger
Malgré un album pop (“Supermoon”), la chanteuse ne se revendique d’aucun style et nous fait découvrir les influences musicales qui jalonnent sa route. Pour Sophie Hunger, la musique, toutes les musiques, ont servi d’ancrage tout au long d’une vie d’errance (dorée) déterminée par les mutations d’un père diplomate (Londres, Berlin, Zurich, Téhéran…). L’écouter, c’est voyager un peu avec elle, au gré de ses envies et lubies, et des influences sans frontière (jazz, rock, folk, chanson…) qui nourrissent depuis l’enfance son vaste univers artistique.
Discothèque idéale selon Mathieu Chedid
Des classique, des belles pochettes, ses parrains, des guitaristes: les albums préférés de Mathieu Chedid Jimi Hendrix Are You Experienced ? Ce n’est sans doute pas mon album préféré d’Hendrix…
Discothèque idéale selon Jamie Lidell
Dix disques. Ceux qu’emporteraient sur son île le chantre so british Jamie Lidell. L’électron libre de la galaxie Warp publie un nouvel ovni rétrofuturiste qui oscille entre soul-funk vintage et connexions plus pop…
Discothèque idéale selon Adrian Sherwood
Voici les dix disques qu’ Adrian Sherwood emporterait sur son île. Une bonne manière de retrouver quelques-unes des influences qui ont nourri ce fan inconditionnel de reggae tout au long de l’épopée de son label On-U Sound qui fête son 30e anniversaire.
Discothèque idéale selon Angélique Kidjo
La chanteuse Béninoise est de retour avec Djin Djin, où, entre reprises et originaux, elle multiplie des invitations, aussi variées que sa playlist: de Carlos Santana à Ziggy Marley, de Joss Stone à Peter Gabriel, d’Alicia Keys associée à Branford Marsalis à Amadou et Mariam.
Discothèque idéale selon Stacey Kent
Nouvellement signée par le label Blue Note, Stacey Kent publie Breakfast On The Morning Train, un recueil de thèmes entre pop et jazz, entre bossa et reprises de chansons françaises (Gainsbourg, Pierre Barouh). Secondée par son mari et producteur Jim Tomlinson, l’ex-étudiante en langue à Paris, très à l’aise en français, poursuit son chemin depuis la parution de « Close Your Eyes », son premier enregistrement en 1997.
Discothèque idéale selon Bertrand Cantat
Dix disques, ceux qu’emporterait sur son île déserte Bertrand Cantat. «En admettant un départ en urgence, j’essaierais d’abord d’emmener une guitare et un petit engin pour enregistrer. La voix, elle, se transporte facilement, papier, crayon, on ne sait jamais ça peut servir.» Et de conclure cette «fin du jeu cruel» par : «Dix minutes de plus et je fais une toute autre liste.»
Discothèque idéale selon Rachid Taha
Il aimerait ajouter à une liste aux couleurs de plaisirs parlants Joe Turner et T-Bone Walker, Arkology de Lee Perry et ce bon vieux James Brown… L’ancien porte-parole de Carte de Séjour nous parle de quelques-uns de ses albums fétiches.
Discothèque idéale selon Janelle Monáe
Les disques qui comptent pour Janelle Monáe dont « The ArchAndroid » a été élu album de l’année 2010 par la rédaction de Vibrations. Un choix radical bien à son image, et qu’elle donne dans l’ordre de préférence.
Discothèque idéale selon Zenzile
Les disques qu’emporteraient sur leur île déserte Matthieu et Vince, respectivement bassiste et clavier de Zenzile, tous deux missionnés par leurs complices pour faire ce repérage. Un choix ouvert qui ressemble bien à l’esprit du groupe.
Discothèque idéale selon Arto Lindsay
Dix disques. Ceux qu’Arto Lindsay, guitariste et chanteur, emporterait sur son île déserte («quelle horreur!»). Foncièrement créatif et inclassable, il est une des stars de la constellation new-yorkaise «d’avant-garde permanente». Il est aussi un producteur éclairé pour ses amis brésiliens Caetano Veloso, Marisa Monte, Vinicius Cantuaria et, récemment, le bloco afro Ilé Ayé de Salvador de Bahia.
Discothèque idéale selon Femi Kuti
Dix disques. Ceux que Femi Kuti emporterait sur son île déserte. Le fils de l’immense Fela nous livre « un instantané des disques qui aujourd’hui me viennent immédiatement à l’esprit. Je garde mon père pour la fin: c’est évidemment sa musique qui a joué le plus grand rôle dans ma vie, mais il faut comprendre que je vole de mes propres ailes ».
Discothèque idéale selon Aloe Blacc
Les chansons qui comptent pour le Californien Aloe Blacc. L’ex-porte-parole d’Emanon a troqué sa casquette de rapper pour le complet veston de soul brother. Après «Shrine Through» publié en 2006 chez Stones Throw, «Good Things» pousse le pitch du total mix encore plus loin, avec une superbe reprise de «Femme fatale» empruntée au Velvet Underground et «I Need A Dollar», un hymne qui résume l’état d’esprit du Californien : une critique en règle contre les malversations du capitalisme, qui renvoie à cette sélection de chansons engagées.
Discothèque idéale selon Me’shell Ndegeocello
La bassiste, guitariste et chanteuse Me’shell Ndegeocello vient de roder sur scène les superbes titres d’un album à paraître en novembre, tout en reprenant « Pimper’s Paradise » de Bob Marley et « Little Red Corvette » de Prince. Elle précise : « Je peux totalement changer de playlist d’une semaine sur l’autre. »